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En juillet 2018, dans le cadre de l’initiative act4nature, RTE a renforcé son engagement en signant, aux côtés de 64 autres grandes entreprises françaises, dix engagements communs en faveur de la biodiversité.

RTE a rejoint en décembre 2019 le dispositif Entreprises engagées pour la nature – act4nature France et a soumis son plan d’actions en faveur de la biodiversité 2020-2024. Les actions proposées s’inscrivent dans la continuité des engagements déjà pris par RTE et confirment sa volonté d’agir pour la préservation des milieux naturels, de la biodiversité et des paysages.

Avec 90 % de ses installations situées en pleine nature, RTE a à cœur d’intégrer ses ouvrages et activités dans l’environnement. RTE tient compte des enjeux écologiques dans chacune de ses décisions et met en œuvre des actions pour préserver et restaurer la biodiversité. Ainsi, le réseau électrique offre, par exemple, l’opportunité de développer des corridors verts sous les lignes et de créer des réservoirs de biodiversité dans les sites industriels et tertiaires.

Favoriser la biodiversité sous les lignes électriques

RTE œuvre depuis plusieurs années pour transformer en corridors écologiques les emprises de ses lignes électriques, dont 20 % se trouvent en milieu forestier. En partenariat avec des gestionnaires d’espaces naturels et des acteurs de la biodiversité, RTE a aménagé près de 1 200 hectares de surface cumulée à fin 2019. Son objectif est d’atteindre 2 300 hectares à fin 2024, d’espaces plus favorables à la biodiversité. Plantation de lisières étagées, gestion par pâturage ou par fauche, restauration de milieux ouverts (landes, tourbières), aménagements pour la faune sauvage, méthodes de coupe sélective… sont autant de pratiques innovantes qui permettent, par exemple, à certaines espèces menacées d’être préservées (l'Azuré des Mouillères par exemple en Pays-Basque avec le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine).

Cette gestion alternative de la végétation sous les lignes aériennes a été expérimentée avec l’homologue belge de RTE, ELIA, dans le cadre d’un programme européen LIFE  (2011-2017), sous 150 kilomètres de lignes en Wallonie et sur sept sites en France. Au bout de six ans, il a été constaté que ces pratiques ont souvent permis de passer d’une biodiversité « ordinaire » à une biodiversité « remarquable ». Les animaux domestiques et sauvages peuvent, grâce à elles, profiter d’une flore riche et diversifiée. Le tout, en réduisant les coûts de maintenance, en garantissant la sécurité du réseau électrique et en établissant des partenariats locaux pérennes.

[VIDÉO] - Le projet LIFE Elia RTE (05:24)

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Projet LIFE - végétation sous les lignes
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[Cette vidéo présente le projet LIFE Elia-RTE, une initiative innovante de gestion des corridors sous les lignes électriques. En transformant ces zones en espaces favorables à la biodiversité, RTE garantit la sécurité électrique tout en préservant et en restaurant des habitats naturels, en collaboration avec des partenaires locaux.]

Patrick Vergne, Responsable Activité Maintenance RTE, Champagne Morvan : Le métier du RTE, c'est de transporter l'électricité. Sur les territoires français, cela représente plus de 100 000 km de lignes à haute et très haute tension.

Lorsqu'on traverse la forêt, on doit vraiment faire attention à ce que les arbres ne touchent pas les lignes. Si un arbre venait à toucher les lignes, on risquerait une coupure d'approvisionnement.

Pour empêcher les arbres d'approcher les lignes, on doit les couper régulièrement.

Il y a deux grandes méthodes. La première par gyrobroyage avec un tracteur qui broie la végétation et la deuxième manuellement avec une tronçonneuse. Ce sont des interventions lourdes qui peuvent perturber les espèces animales et végétales.

Cela fait longtemps que RTE expérimente des méthodes de gestion alternative qui prennent en compte la biodiversité.

L'idée nouvelle du LIFE, c'est de voir la végétation comme une opportunité et d'en faire une alliée pour la sécurité des lignes.

Simon de Voghel, Communication et Networking européen LIFE Elia-RTE : Le principe du LIFE, c'est plutôt que de gyrobroyer ou de couper manuellement la végétation, c'est de mettre en place des alternatives de gestion.

Ces alternatives, ce sont des actions qui sont simples à mettre en œuvre : la plantation de lisières étagées, la plantation d'arbres fruitiers sauvages, l'installation d'une zone de pâturage ou de fauche pour un agriculteur ou le creusement de mares.

Et alors il y a des actions plus complexes que sont la restauration d'habitats naturels qui sont protégés par l'Europe : les pelouses calcaires, les tourbières ou encore les landes.

Avec ces actions, on garde une végétation basse de type arbuste qui ne pousse pas trop haut. La sécurité électrique est garantie et on crée une situation nouvelle qui est tout bénéfice pour la nature et pour le gestionnaire.

Thierry Tounebize, Directeur adjoint Parc naturel régional de la Forêt d'Orient : L'avantage du projet LIFE, c'est de mettre à profit le maillage de ces infrastructures linéaires que constituent les lignes RTE pour faire des opérations de gestion, de restauration de la biodiversité et faire un maillage vert et bleu, ce qu'on appelle la trame verte et bleue, pour permettre à des espèces de la faune et de la flore de se déplacer dans ces corridors écologiques.

L'autre bénéfice du LIFE, en recréant ces espaces de nature sur ces couloirs aériens, c'est de faire intervenir une multitude d'acteurs locaux. En l'occurrence ici, un exploitant agricole qui va gérer le site avec un troupeau de moutons. Une activité de chasse de loisirs, puisque le chevreuil, par exemple, bénéficie ici du gîte et des couverts, de l'herbe et des fourrés. Et puis le site est traversé par des itinéraires de randonnées pédestres et équestres. Il y a un sentier pédagogique qui se promène sur le site, il y a déjà des panneaux d'informations. Donc compléter l'information du public sur ce qui est fait sous un ouvrage d'infrastructure aérien, expliquer pourquoi on refait de la nature et comment on refait de la nature, avec un ensemble de partenaires locaux et d'acteurs locaux, c'est tout bénéfice en termes de sensibilisation à l'environnement.

Simon de Voghel, Communication et Networking européen LIFE Elia-RTE : Alors ça fait maintenant 5 ans qu'on travaille avec RTE et on obtient des résultats très encourageants. On a par exemple une zone en France où on a observé le retour d'une plante, une espèce végétale qui s'appelle le lycopode inondé, et qu'on n'avait plus vu depuis plus d'un siècle.

Jean-François Lesigne, Attaché Environnement RTE, Paris : Le projet LIFE nous permet de garantir la sécurité électrique de manière intelligente et innovante.

Pendant longtemps, on a opposé l'industrie et la nature. Et ce projet LIFE nous permet de réconcilier nature et industrie, et cela avec des partenaires locaux, et ça c'est vraiment très fort pour RTE.

Changer nos pratiques de gestion est un défi pour RTE, mais vu le succès du LIFE, notre intention est de le généraliser à l'ensemble de notre réseau.

[En France, le projet LIFE porte sur la restauration de 60 hectares répartis sur 7 sites. Une analyse coûts-bénéfices a démontré que le retour investissements est de 3 à 9 ans.]

[Logo Award 2015, good practice of the year: environnement protection. Renewables Grid Initiative]

[Logo Award 2016, sustainable parterships. The Shift]

[Logo Award 2016, Natura 2000 award, good practice of the year. Award]

Masquer la transcription textuelle de la vidéo : Le projet LIFE Elia RTE (05:24)

Depuis 2018, RTE étend ces aménagements grâce au projet « BELIVE » (Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises) mené sur 200 hectares dans trois régions :

  • le Nord-Est : RTE travaille en étroit partenariat avec le Parc naturel régional des Ardennes, reconnu site pilote pour la biodiversité par l’État
  • la Méditerranée et l’Ouest, où RTE entend concilier déploiement de réseaux électriques intelligents (Smart grids) et gestion intelligente de la végétation par ses capacités à s’autoréguler

RTE vise à déployer BELIVE sur tout le territoire, avec 30 hectares aménagés dans chacune des quatre autres entités régionales de l’entreprise à partir de 2021.

Protéger les oiseaux et les insectes pollinisateurs

Soucieux d’améliorer la cohabitation de ses infrastructures avec les oiseaux, RTE équipe ses lignes électriques « à risques » de dispositifs anti-collision et anti-électrocution : 5,5 % de son réseau est doté de balises visibles par les oiseaux, dont près de 20 % des lignes passant en « zones de protection spéciale », territoires faisant l’objet de mesures particulières de conservation des oiseaux. Quelque 12 600 dispositifs anti-électrocution sont déployés sur les pylônes. Par ailleurs, 72 plateformes pour la nidification des cigognes ont été installées ainsi que 11 installations pour sécuriser les nids de balbuzards pêcheurs. RTE travaille notamment en partenariat avec la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur ces programmes. Pour aller plus loin, RTE teste dans le cadre du projet de recherche EIDER des moyens automatisés de détection d’oiseaux (radars, caméras).

En savoir plus sur le projet Safelines4 birds

[VIDÉO] - Les balises avisphères (01:33)

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Pose de balises avifaunes à l'aide d'un bicycle
Lire la transcription textuelle de la vidéo : Masquer la transcription textuelle de la vidéo : Les balises avisphères (01:33)

[Cette vidéo explique l'utilité des balises avisphères installées sur les lignes électriques par RTE. Ces dispositifs bicolores, visibles de jour comme de nuit, aident les oiseaux à éviter les collisions en rendant les câbles plus visibles. Découvrez comment ces balises innovantes sont conçues et posées pour protéger l’avifaune.]

Avez-vous déjà remarqué de petites sphères sur les lignes électriques ? Curieux ? À quoi cela peut bien servir ?

Afin de prévenir les risques de collisions entre les oiseaux et les lignes électriques, RTE installe des balises avisphères. Ces dispositifs ont vocation à rendre le conducteur plus visible des espèces avifaune, afin que celles-ci puissent mieux anticiper son évitement.

Comment cela fonctionne ?

C'est une demi-sphère en aluminium qui s'emboîtent pour former une sphère bicolore d'un diamètre de 25 cm et pour un poids de 700g ! Une partie rouge pour les oiseaux de jour, une partie verte, luminescente, pour être visible la nuit. Comment sont-elles posées ? Résistantes, ces balises peuvent être installées dans des zones où le givre peut dépasser les 4 cm d'épaisseur. Pour les installer, les lignards utilisent le vélo, le plus souvent la nacelle ou l'hélicoptère. Fixées sur le câble de garde, les balises sont placées au-dessus des lignes électriques en alternant le sens des couleurs. Objectif : rendre visibles les deux couleurs par les oiseaux quel que soit leur angle de vol.

Masquer la transcription textuelle de la vidéo : Les balises avisphères (01:33)

RTE est également engagé en faveur des insectes pollinisateurs depuis 2016, dans le cadre du Plan national d’actions « France, Terre de pollinisateurs ». L’entreprise a participé à des expérimentations menées par l’association Hommes et Territoires dans les grandes plaines de culture. Les pieds de pylônes, s’ils sont bien aménagés, peuvent en effet être une source de nourriture et d’abris pour la petite faune et de nombreux insectes pollinisateurs. Des mélanges de graines pour restaurer des bordures de champs et des pieds de pylônes par semis de fleurs sauvages ont ainsi été testés afin de créer une continuité écologique, par pas japonais, pour la faune et la flore en milieu agricole intensif.

En outre, RTE développe actuellement un prototype d’hôtel à insectes à installer sous les bornes de signalisation des câbles électriques souterrains. Enfin, plusieurs aménagements ont été réalisés en faveur des insectes pollinisateurs sauvages sur des sites tertiaires, principalement urbains, avec des plantes mellifères, dont la provenance locale a fait l’objet d’une attention particulière.

Anticiper pour préserver la biodiversité marine

Dans un très proche avenir, RTE va raccorder les parcs éoliens en mer, en posant des câbles électriques sous-marins, et également construire et exploiter les plateformes électriques en mer, à partir du projet de parc éolien offshore de Dunkerque. Pour mener à bien ces chantiers en assurant la préservation de l’environnement, RTE a lancé plusieurs projets de R&D afin d’étudier et de maitriser leurs impacts potentiels sur les écosystèmes. Il s’agit, pour chaque étape du cycle de vie de ces ouvrages (construction, exploitation, maintenance, démantèlement), de proposer des solutions afin d’éviter ou de réduire leurs incidences sur la faune et la flore des fonds des mers. Ces recherches sont menées en partenariat avec de nombreuses structures comme TBM environnement, l’Ifremer, le CNRS, France Énergies Marines (l'institut national de référence de recherche sur les énergies marines renouvelables), ou encore l’Université de Bretagne occidentale.

En 2019, RTE a lancé en collaboration avec le CEEBIOS, un projet de recherche innovant « BIOMIM – Lignes de vie marine », qui s’appuie sur les principes du biomimétisme, une première dans le domaine de l’éolien offshore. L’objectif est de s’inspirer de la nature pour produire des solutions sobres en ressources recyclables et si possible régénératrices des milieux naturels marins. Ici, il s’agit de doter les câbles électriques sous-marins de propriétés naturelles « anti-fouling », qui empêcheraient des organismes vivants de s’y accrocher et de l’alourdir. La peau de requin est un exemple d’inspiration puisqu’elle possède une multitude d’écailles dentées, par exemple.

Atteindre l’objectif « zéro-phyto » (sans désherbant chimique) de nos sites industriels et tertiaires

RTE est engagé depuis 2010 dans une démarche « zéro-phyto » ambitieuse. L’entreprise a décidé d’accélérer l’élimination des produits phytosanitaires pour l’entretien de ses sites industriels et tertiaires. C’est chose faite pour l’entretien de tous ses sites tertiaires depuis 2018 et dans les nouveaux postes électriques depuis 2019. Objectif : 65 % des postes en « zéro-phyto » d’ici 2022, avec un déploiement de solutions alternatives d’aménagement et d’entretien de la végétation (choix d’une végétation spécifique, éco-pâturage, paillage minéral…).

[VIDÉO] - Stratégie Zéro-phyto (03:14)

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Stratégie zéro-phyto
Lire la transcription textuelle de la vidéo : Masquer la transcription textuelle de la vidéo : Stratégie Zéro-phyto (03:14)

[Cette vidéo présente la stratégie Zéro-phyto de RTE, qui vise à supprimer les produits chimiques dans l'entretien des postes électriques en adoptant des solutions alternatives comme la végétalisation et le pâturage. Un engagement pour l’environnement et la biodiversité.]

[Jusqu'à aujourd'hui, RTE utilisait principalement des produits phytosanitaires (désherbants ou herbicides) pour l'entretien de ses postes électriques.]

Sébastien Briant, Chef de pôle GEMCC - Centre Maintenance de Lyon : Zéro phyto, qu'est-ce que c'est ?

C'est une politique qui vise à supprimer les produits phytosanitaires dans les postes, donc en clair les désherbants chimiques pour enlever l'herbe dans les postes électriques.

Ruffine Le Villain, Chargée d'affaires - Département Concertation et Environnement : Depuis 2010, RTE s'est engagée notamment dans le cadre du plan Ecophyto à, d'une part, mener des expérimentations pour essayer de trouver des solutions alternatives aux produits phytosanitaires, à comptabiliser l'usage de nos produits phytosanitaires. Le dernier point de nos engagements, c'était justement d'améliorer nos pratiques pour réduire sans forcément revoir nos objectifs, mais dès à présent l'usage de nos produits phytosanitaires.

RTE s'est engagée à arriver à terme à du zéro phyto sur la totalité de ces postes électriques.

[Poste de la Boisse : entretenu avec du pâturage depuis 2016]

Sébastien Briant, Chef de pôle GEMCC - Centre Maintenance de Lyon : Ici, on traitait massivement avec des produits chimiques pour éviter que l'herbe ne pousse. A été décidé de le végétaliser, ce site-là.

Jusqu'à présent, on avait des graviers dans les postes qui présentaient l'avantage d'assurer une couche isolante d'un point de vue électrique entre le sol et les chaussures des travailleurs.

[Diversification des pratiques d'aménagement étudiées au cas par cas : végétalisation dite « couvre-sol », divers couverts minéraux : béton drainant, mélanges à base de chaux...]

Ici, la végétation, on l'a laissée libre. C'est la nature qui a choisi les espèces qui vont être transportées par le vent.

Si je choisis volontairement des espèces plutôt à pousse rase, lente, qui tapissent et qui couvrent bien le sol, j'aurais un peu moins d'entretien.

[Poste de Chaffard : végétalisé et entretenu sans phyto depuis 30 ans]

Stéphane Cotte, Coordonnateur Groupement de Postes de Lyon Porte des Alpes : Je trouve que personnellement, c'est plus agréable. Déjà, il n'y a pas de produits phytosanitaires, des désherbants, tout ça.

C'est agréable aussi quand il y a des journées de forte chaleur, parce que la chaleur est plus facilement absorbée par le sol, donc on a moins chaud. C'est quand même bien plus chouette.

[Diversification des pratiques d'entretien : entretien mécanique traditionnel, entretien mécanique robotisé, pâturage]

Ruffine Le Villain, Chargée d'affaires - Département Concertation et Environnement : Aujourd'hui, on va aussi diversifier les méthodes d'entretien sur le site, donc plus en plus de matériel électrique et non plus thermique, des robots tondeuses autonomes. On a testé notamment un robot solaire, des moutons. On en avait déjà, on s'est rendu compte que dans les archives, on avait des moutons, donc on y revient finalement.

Stéphane Cotte, Coordonnateur Groupement de Postes de Lyon Porte des Alpes : Les moutons au poste de la Boisse, ils sont ici. On en a un petit cheptel. Ce n'est pas l'unique solution, bien évidemment, ce n'est pas systématique.

On va la proposer par opportunité, si le prestataire, notamment, dispose d'un troupeau, si ça convient aux bêtes, si c'est adapté. Aujourd'hui, je préfère un site en herbe, puisqu'on évite les produits phytosanitaires.

Globalement, l'idée, c'est d'aller vers le zéro phyto, coûte que coûte, et les moyens d'y parvenir ne sont pas forcément très coûteux. C'est tout à fait en phase avec la démarche environnementale qu'à RTE. Sa volonté aussi de s'intégrer dans une démarche sociétale naturelle, c'est dans l'air du temps que d'arrêter de polluer les sols.

[Objectif fin 2022 : 65 % des sites RTE en zéro-phyto]

Ruffine Le Villain, Chargée d'affaires - Département Concertation et Environnement : On réduit notre impact environnemental de fait, vu qu'on va arrêter d'envoyer ces substances de synthèse dans l'environnement. Donc déjà, à ce niveau-là, on va dire qu'on gagne des points sur l'environnement.

Autre aspect, le fait d'avoir de la végétation sur nos sites et d'accepter la présence de végétation, on va aussi favoriser la biodiversité des espèces plus ou moins rares qui s'installent. Donc là, on voit qu'on a un impact positif sur l'environnement.

Masquer la transcription textuelle de la vidéo : Stratégie Zéro-phyto (03:14)
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